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Le pouvoir de choisir ce que l’on transmet

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​​« Chez moi, on ne montrait pas beaucoup ses émotions et je crains de ne pas savoir être proche de mon bébé.»​​

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« J'ai peur en permanence pour mon enfant.»​​

« Petite, j'ai souffert des disputes incessantes de mes parents. J'aimerais éviter ça à mes filles.»

« On m'a toujours dit que je n'étais capable de rien et aujourd'hui je me sens insuffisante, j'ai peur de mal faire.»

« J’ai toujours eu des troubles du comportement alimentaire et j'ai l'impression que j’ai du mal à allaiter mon bébé en fonction de ses besoins.»​

« J'ai été victime de violences sexuelles. Depuis, je n'ai confiance en personne.»​​

Beaucoup de symptômes, liés à des évènements du passé ou à des croyances limitantes, sont susceptibles d'entraver notre quotidien.

Désactiver ses traumatismes c'est:

  • Permettre de faire disparaître des symptômes qui nous rendent la vie difficile (anxiété, hypervigilance, comportements répétitifs préjudiciables, phobies....)

  • Vivre plus sereinement son présent en changeant de regard sur celles qu'on a été, sur notre corps, sur les autres et sur le monde

  • Empêcher la reproduction sur nos enfants de certains comportements de nos ascendants

  • Prévenir la transmission involontaire de traumatismes générationnels à nos enfants

  • Devenir le parent que l'on aspire à être

Nous employons l'expression "désactiver les traumatismes" en référence à la mémoire traumatique telle qu'elle est décrite par la Docteure Muriel Salmona.

La mémoire traumatique non traitée est susceptible d'être "réactivée" par des déclencheurs de la vie courante (tout lien sensoriel, intellectuel ou émotionnel avec l'événement traumatique) et faire revivre à la personne au présent, les mêmes émotions que celles ressenties pendant l'événement du passé. Parfois, sans même faire de lien avec cet événement, la personne peut être submergée par des sensations ou émotions inadaptées, dans le sens où elles ne répondent pas à la réalité du moment (peur irrationnelle, colère soudaine, tristesse submergeante, toutes réactions disproportionnées...). C'est "le passé qui s'invite au présent".

Qu'est-ce que l'accompagnement au déploiement ? 

Il s’agit d’un accompagnement créé par Françoise Leclère, traumaticienne, formatrice et sexologue, qui propose une nouvelle façon de désactiver les traumatismes.

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Selon le modèle de l'accompagnement au déploiement, nous sommes constitué.es de toutes celles que nous avons étés, comme des poupées Russes, avec une poupée par instant de vie. Si au cours de notre vie, nous vivons un événement qui est trop douloureux,  impensable ou violent pour être intégré neuro-émotionnellement dans l'instant, l’être que nous avons été à ce moment est mis de coté (il est clivé). Scientifiquement, on dirait que son vécu émotionnel reste stocké de façon dysfonctionnelle dans le cerveau émotionnel (mémoire traumatique) au lieu de passer dans le cerveau rationnel (mémoire biographique).

Lors d'une séance d'accompagnement au déploiement, la traumaticienne propose une médiation de dialogue intérieur entre la personne accompagnée et celle qu'elle était au moment de l'événement traumatique. Il s’agit d’écouter intérieurement cet être clivé, non pas pour lui parler ou pour le consoler, mais pour le rencontrer et écouter son vécu émotionnel. Ses émotions étant traversées, elles s'apaisent. Ainsi, ce dialogue permet non seulement l'intégration du vécu émotionnel dans le cerveau rationnel, mais également la réhabilitation de l'être qui a vécu le traumatisme (la poupée Russe mise de coté revient s'emboiter avec les autres).

Selon ce modèle, le symptôme étant vu uniquement comme un moyen d'attirer notre attention sur l'existence d'un vécu émotionnel non intégré, il disparaît une fois ce vécu intégré.

Dans cet accompagnement, il n'est pas nécessaire de raconter le passé puisque notre attention n'est pas portée sur les faits mais sur les émotions des êtres qui les ont vécus.

Il est particulièrement adapté pour les personnes ayant subi des violences sexuelles. Le plus souvent, 2 ou 3 séances suffisent pour arriver à un apaisement définitif. ​

Quelques exemples de séances enregistrées:

Besoin d'approbation sociale par la beauté

​Croyance limitante : "je ne suis pas capable de réussir"

© 2024 par Charlotte Doula-Traumaticienne. Crée avec Wix.com

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